- Don d'un terrain pour bâtir une maison à Mézières, rue des jardins, fait par Jeanne, comtesse de Rethel, à Husson Tranchant (septembre 1287).
- Abandon par les échevins de Mézières, de leurs droits sur une masure sise au Jardin, par-devers la rue des Moulins, vendue par Louis, comte, et Jeanne, comtesse de Rethel, à Etienne dit Le Lorgne, clerc de Mézières (7 novembre 1299).
- Aveu à Louis, comte de Nevers et de Rethel, par Julien dit le Voueit, de Mézières, pour des maisons à Evigny et à Mézières, rue des Etuves, et une redevance de grains, à Saint-Menges (22 mars 1316).
- Donation par Louis, comte de Nevers et de Rethel, à Jean de Verrières et à sa femme, d'une maison à Mézières et de rentes sur le vinage (19 avril 1317 . vidimus de 1338).
- Partage de maisons, granges, bouveries, prés et terres à Mézières, Villers sur Bar et Boulzicourt, entre Julien Le Voué, de Mézières, et Colart Colinet, de Bouvignes, son gendre (13 mai 1383).
- Partage de maisons à Mézières entre Julien Le Voué, de Mézières, et Peresson Le Voué, son fils (11 février 1384).
- Même contrat passé le 22 février suivant sous le sceau du bailli de Rethelois.
- Aveu et dénombrement à Philippe, duc de Bourgogne, par Milet Bassignon, pour maisons et une tour à Mézières, rue des jardins (29 novembre 1399).
- Accord entre le procureur de la comtesse de Nevers et de Rethel et Petitjean d'Arches, à l'occasion d'un fourneau construit indûment par ce dernier, en son hôtel de Mézières (20 octobre 1422).
- Jugement arbitral attribuant au Lombard Thomas Dancernes, des maisons à Mézières en paiement d'une dette contractée par Drouet de Molain, ces maisons sises rue des Bouchers, rue de Venise et près la porte de Saint-Julien (19 novembre 1437).
- Accensement d'une maison à Mézières, rue des Jardins, donnée par adjudication à Jean le Locheron (Mézières, 11 juillet 1449).
- Accensement d'une maison à Mézières, sise Entre Deux Portes, par les officiers du comte de Rethel, à Jean Herbin (21 juillet 1449).
- Quittance du quint dernier payé par Gérard de Landres, pour la maison acquise récemment par lui à Mézières, rue des Jardins (28 mars 1455 . copie de 1460).
- Accensement par la Chambre des Comptes de Nevers à Robinet Cayn, d'une chambre et d'un cellier en une maison sise à Berthecourt (20 avril 1453).
- Réception par Charles de Bourgogne, comte de Nevers et de Rethel, de l'hommage de Gérard de Landres pour une maison à Mézières, rue des Jardins, près des fortifications (Rethel, 10 novembre 1456 . vidimus du 1erdécembre 1456).
- Dénombrement fourni par Gérard de Landres pour une maison sise à Mézières, sur les murs des fortifications (28 novembre 1456 . original et copie de 1460, des lettres de récépissé du 30 novembre 1456) . acte d'entérinement des lettres patentes du 10 novembre 1456 susdites, par Pierre d'Arches, lieutenant du bailli de Rethelois (2 décembre 1456 . copie de 1460).
- Bail par François, comte de Rethel, à Guillaume de Rogiessart, dit de Nau, marchand, demeurant à Mézières, à titre de cens annuel et perpétuel, de "certain lieu et place dict et appellé la Mollette et ce qui en dépend, situé et assis sur le cours du ruz des moulins de Maisières, au-dessoulbz desd. molins, prez, et joingnant la cuysine de la maison des Tournelles&", avec permission "de bastir et construire audit lieu et place, appellée la Mollette, toute autre usine que bon luy semblera, sans toutesfoys préjudice, ny porter dommaige à noz molins dud. maizières assis sur led. cours et rivière de Meuze&", moyennant 48 sous p. de cens par an (1er août 1551).
- Bail à Jacques Hurel, marchand à Mézières, d'une place en friche et savarts au-dessous des tanneries, en lieu dit aux Cloyères, pour y construire une maison et tannerie, moyennant un cens de 6 sous parisis par an (22 janvier 1557).
- Bail à Nicolas de Briencourt, hôtelier et marchand à Mézières, à l'enseigne du Coq, d'une vieille masure et tour en ruine, avec un petit jardin derrière ladite tour, et une petite place tenant par devant à la rue qui conduit aux moulins de Mézières, et par derrière à la rivière . sans y comprendre une petite allée conduisant au "lavouer" commun de la ville, et sans que le preneur puisse démolir et abattre les murailles de ladite vieille tour, moyennant un cens annuel de 60 sous t. et en outre, 72 l. 10 s. t. d'entrée (23 août 1572) . au dos, approbation par Louis de Gonzague et Henriette de Clèves (22 septembre 1572).

Communicable

Ancienne cote : T 495, anc. 65