Cote/Cotes extrêmes
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Fonds de la famille Grimaldi-Régusse
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Du 30 décembre 1613. Requête de Pierre Laugier, maitre macon, de Solliers, pour obtenir le paiement d'un travail exécuté dans la maison de Charles Bourguignon, de Néoules (fol. 18). Procès entre Gaspard et Antoine Garin, demandeurs en paiement de pension et aliments fournis à leur mère, et Raymond Garin (fol. 18 v°). Du 13 janvier 1614. Entre Augustin Bourguignon, demandeur en usurpation de souches de vigne, et Pierre Emeric (fol. 24 v°). Entre Jean-Jacques Emeric, prêtre, de Néoules, demandeur en restitution d'un chien, et Louis et François Simon (fol. 26). Du 5 mars 1614. Réclamation par Venture Long, du prix d'une « poulailhe » qui était morte par la faute de Madeleine Baude (fol. 39 v°). Du 21 mai 1614. Entre Jacques Guiran, demandeur en paiement du loyer d'une maison, et Etienne Emeric (fol. 47). Du 30 juin 1614. Entre Ambroise Bourguignon, de Méounes, demandeur en retrait lignager, et Jean et Honoré Emeric (fol. 55 v°). Du 7 juillet 1614. Entre Pierre et Antoine Emeric, demandeurs en répartition de la dot de leur mère, et les créanciers de l'héritage (fol. 58 v°). Du 26 août 1614. Entre Jean Brémond, demandeur en paiement de 6 sous, pour vente de « sebollet », et Victor Simon (fol. 66). Du 1erseptembre 1614. Entre Jean-Honoré Emeric, demandeur en paiement de 8 florins pour « reparation et facture de garachz », et Ambroise Bourguignon (fol. 70 v°). Du 27 octobre 1614. Entre Henri Brémond, demandeur en paiement de la pension due à Catherine, sa mère, et Nicolas et Honoré, ses frères (fol. 78). Du 6 novembre 1614. Entre Victor Baude, demandeur en restitution d'une promesse faite par Honoré Maxellin, de Garéoult, et Antoine Bourguignon (fol. 82 v°). Du 25 février 1615. Entre Françoise Juvénal, demanderessc en recouvrement d'une camisole perdite par elle l'hiver passé, et Jean Maunier qui la porte actuellement (fol. 87). Entre Antoine Juvénal, demandeur en réparation d'injures verbales et accusation de voi portés contre sa femme, et Marguerite Garcin (fol. 88). Du 16 mars 1615. Entre Françoise Juvénal, demanderesse en réparation d'injures « contre son honneur et repputation », et Isabelle Brémond (fol. 91). Du 30 septembre 1615. Entre Eloi Granier, de « Caumas », exigeant 1 1 florins pour sa part des glands de Puy-Colombier, et Anne Long, sa belle-soeur (fol. 108). Du 12 octobre 1615. Entre Jean Guérin, notaire, de Belgentier, réclamant 40 sous d'une cession à lui faite, et Pierre Émeric, cordonnier, de Néoules (fol. 110 v°). Entre Charles Emeric, demandeur en peines encourues sur la dénonciation de l' « eygallier de la riviere », et Marguerite Juvénal, pour prise d'eau (fol. 111).Du 9 novembre 1615. Entre Augustin Bourguignon, demandant la restitution d'une bague, d'un mouchoir et de 7 florins, et Jean Lions, à qui la fille Bourguignon les avait donnés lors de ses fiancailles (fol. 110). Du 1erdécembre 1615. Entre François Grisolle, chapelain de Garéoult, demandeur en remboursement de 7 florins, et Jean Guiran (fol. 124 v°). Du 21 janvier 1616. Entre Jean Guiran, demandeur en réparation d'injures « atrosses et diffamatoires », et Michel Long (fol. 131). Du 22 janvier 1616. Déclaration de François d'Emenjaud, coseigneur de Néoules, comparant par Laurent Grisolle, son greffier. Il a en sa possession un fourreau et une barre de bois trouvés dans la maison de Catherine Brémond lorsqu'on a voulu l'assassiner. Il les tient à la disposition du bayle de l'évêque de Marseille pour servir aux poursuites (fol. 133 v°). Du 23 février 1616. Entre Barthélemy Terras et Laurent Bourguignon, demandeurs en « regrets », et les hoirs de feu Michel Baude (fol. 139 v°). Du 22 avril 1616. Entre Catherine Rane, de Méounes, demanderesse en réparation d'injures, et Honorade Long (fol. 149 v°). Du 11 août 1616. Réclamations par Louis Brémond, d'un « petit couchon sipe porquet », à Jean-Simon Brémond, qui le lui doit pour rente d'une étable (fol. 155 v°) . par Madeleine Gueyt, de 16 sous, « pour medicquemantz payés pour l'acotremant du mal d'ung bras d'une siene filhe que l'enfant de la deffenderesse auroyt cauzé », et Catherine Grisolle (fol. 157). Du 16 août 1616. Autre de Jacques Maxellin, praticien de Garéoult, injurié par Jean Brémond, de Néoules. Il s'agit d'un incident arrivé le jour de l'Assomption, près du château du sieur de Gaubert, « ou se tiroyt a l'arquebuze pour les joyes », à propos d'un coup douteux (fol. 159 v°). Du 10 octobre 1616. De maitre Jean Émeric, bayle de Néoules, en qualité de mari de Lucrèce Hugues, pour injures proférées par Françoise Juvénal, femme de Jaume Chabert. « Laquelle surs de simples parolles que luy dict ladicte Huguesse plus tost pour son bien que pour mal, veu que icelle avoyt demuré autreffois pour servante avec elle, se seroyt mize a dire contre ladicte Hugesse qu'elle avoyt esté jallouze d'elle envers ledict maistre Emeric, son mary, lorsque demuroyt dans sa maison, et que en ayne de ce, aoyt (sic) donné conseilh audit Jaume Chabert, son mary, de l'enpoizoner pour la faire morir. Et surs ce laditte Huguesse offancée, scaichant que c'estoyt une choze fausse, auroyt avance contre ladicte Juvenalle que en cella elle mostroyt bien sa follie et que, a dire telle cboze, mostroyt estre plus tost yvre que autrement. Et en ce, icelle Juvenalle y avanssa que c'estoyt enyvrée du vin qu'elle avoyt regorgé et que c'estoyt elle qu'estoyt l'yvrogne et que avoyt quatre tilhes que la ressambleroyent en cella et que ung jour yroyent par les portes, et que du temps que a demuré pour servante n'avoyt jameys rien heu de ses salleres », etc. (fol. 162). Du 13 octobre 1616. Procès entre Isabelle Garin, servante de Jean Baude, demanderesse en cassation du marche fait d'une canne de toile, et François Arnaud, mercier (fol. 164 v°). - Du 5 décembre 1616. Enregistrement des lettres par lesquelles Jacques de Turricella, évêque de Marseille et seigneur de Néoules, établit André Rane, de Méounes, pour sergent ordinaire de Méounes et de Néoules (fol. 172 v°). Du 9 juin 1617. Procès entre Gaspard Advignon, de Brignoles, défendeur en requête de prétendu inventaire, et Isabeau et Honorade Emeric, héritières d'Andre, leur frère (fol. 194 v°). Du 23 juillet 1617. Entre François Tesseire, dit Pascharrau, de Belgentier, et Bastien Bremond, laboureur, celui-ci demandant pour son fils 17 sous ou environ, salaire d'un mois et vingt jours de travail, à 10 sous le mois, et la restitution « d'ungne tramponne et une chemize » (fol. 198 v°). Du 21 septembre 1617. Entre Jean-Honoré Emeric, maitre tailleur, réclamant 16 sous pour façon « d'ung aubarjon nuptial » et deux paires de chaussettes, et Honoré Émeric, tisseur (fol. 217). Du 9 octobre 1617. Entre Jaume Chabert, demandeur en réparation des dommages souf- ferts pour l'arrentement d'une terre appartenant au sieur de « Vachières », de Cuers, et Gaspard Guérin (fol. 220). Du 19 octobre 1617. Entre Antoine Laure, maréchal,dc Belgentier, se plaignant d'un voi de chanvre, et Catherine Rane (fol. 227). Du 7 mai 1618. Entre Jean Gueyt, demandeur en restitution d'une chemise perdue à la lessive, et Marguerite Lions (fol. 263 v"). Plainte de Pierre Bruii contre Catherine Vidal, qui a appelé sa femme « mule » (fol. 205). Du 30 juillet 1618. Procès entre Honoré Emeric, tisseur, qui demandait à ne pas payer les 32 sous exigés pour un extrait de mariage, et Jean Emeric, notaire, de Néoules (fol. 271). Du 15 octobre 1618. Entre Jacques Brémond, mari de Jeannette Emeric, demandeur du droit de légitime du à sa femme sur la dot d'Honorade Long, sa mère, et Raymond Emeric (fol. 292 v°). Du 19 novembre 1619. Entre Charles Bourguignon, réclamant le paiement de quatre journées « d'araire », et Jean Maunier (fol. 300 v°). Du 17 décembre 1618. Poursuite exercée par Antoine Juvénal, sergent ordinaire de Néoules, pour « rebellion et reniement du saint non de Dieu », contre Laurent Brémond (fol. 305). Du 3 janvier 1619. Demande par François Callennes, de la Roque, de 3 livres « pour survailhance d'un eschange fait avec le deflèndeur d'ung mullet avec une jumant », dues par Jacques Gueyt, dit Grappassy (fol. 306). Du 4 mars 1619. Réclamation par Jeannette Emeric, de Garéoult, de 9 livres pour la rente de deux années d'une tuilerie louée à Jean Guiran (fol. 313). Du 23 avril 1619. Entre Philippe Reymonenc, mari de Louise Bourguignon, demandeur en restitution d'une bague appartenant à sa femme, et Jean Lions, ancien fiancé de cette dernière (fol. 323 v°). Du 18 août 1619. Procès entre Antoine Bauine, frère de feu Guillaume, prêtre et vicaire de Signe, réclamant 32 florins 9 sous 3 liards, pour prix de cinq charges de vin moins quinze pôts, à raison de 7 florins la charge, et Philippe Reymonencq (fol. 344). Du 16 septembre 1619. Rapport d'estimation de fruits pour les frères Guiran contre les frères Juvénal (fol. 346 v°). Du 16 septembre 1619. Procès entre Jean Maunier, demandeur en restitution d'une « relhe», qu'il avait laissée cachée dans sa terre, et Jean-Jaume Baude (fol. 351). Du 24 décembre 1619. « Contestation a fere a M° Pierres Baude, pratitien du lieu de Neulles, curateur proveu ad litesaux biens et héritages de feu Augustin Bourguignon, dudit lieu », défendeur, d'une part, contre Charles Bourguignon, fils et héritier dudit Augustin, qui réclamait la dot d'Honorade Reymonenc, sa mère (fol. 398 v°). Du 2 janvier 1620. Rapport de liquidation sur un différend pour coups et blessures, qui existait entre Jean Long, Pierre Juvénal et autres (fol. 406). Du 7 mai 1620. Plainte d'isabelle Voyresse, femme de Jean Christophe, pour injures preférées par Louise Brémond (fol. 416 v°). Du 29 août 1620. Enregistrement des lettres établissant juge de l'évêché de Marseille Balthasar de Puget, seigneur de Bouc, avocat en la Cour, en remplacement de Gaspard Boyer (fol. 422). Du 12 octobre 1610. Plainte de Victor Baude, pour injures proférées contre sa femme par Françoise Brémond, « qui y auroyt avance qu'elle estoyt une bagasse, villeyne, tirassade, et qu'elle estoit une hubriago, ayant estée treuvée de nuyt en de palhieres pour mal faire de son corps » (fol. 437 v°). Du 7 décembre 1620. Procès entre Gaspard Gueyt, de Roquebaron, demandeur de 8 sous pour solde de vingt-cinq setiers de chaux, à 2 sous le setier, et Victor Baude, ménager, de Néoules (fol. 447). Du 8 avril 1622. Entre Catherine Bonaud, de Cuers, plaignante en crime de rapt et défloration, joint le procureur juridictionnel de Néoules, et Honoré Lar- medieu, marchand de Toulon (fol. 480). Du 9 juin 1622. Entre Barnabé et Etienne Baude, demandeurs en maintenue de passage, et Victor Baude (fol. 492). Du 7 octobre 1622. Entre Jean Blanc, marchand drapier, de Cuers, demandeur de 15 livres et 3 sous pour marchandise prise dans sa boutique, et Pierre Pellegrin, « boutart » du lieu de Carnoules (fol. 509). Du 14 novembre 1622. Entre les consuls de Néoules et Jean Mouton, bourgeois de Brignoles, réclamant le remboursement de 900 livres (fol. 510). Entre les mêmes et Marguerite de Châteauneuf, de Brignoles, qui exige le remboursement de 360 livres (fol. 510 v°). Du 19 novembre 1622. Entre Jean- Bernard Émeric, demandeur en dommages et intérêts « par luy souffertz d'un abeilh a mouches a miel que le defendeur luy auroit prins»,et Louis Pascallet (fol. 514). Du 23 janvier 1623. Entre Jean-Baptiste Émeric et Etienne Baude, dont la femme a été trouvée paissant ses chèvres près de la chapelle Notre- Dame de la Bataillière (fol. 541 v°). Du 4 février 1623. Poursuite exercée par le procureur juridictionnel pour injures,menaces et reniement du nom de Dieu, contre Laurent Brémond (fol. 551 v°). Du 6 mars 1623. Réclamation par Joseph Émeric, vicaire de Néoules, aux hoirs de feu Vincent Bourguignon de la liquidation du capital exigible pour un anniversaire fonde dans l'église (fol. 562 v°). Du 11 mai 1623. Par devant Jacques de Cormetis, bayle et lieutenant du juge « en abstinence ». Demande de rétractation d'injures formulée par Jean Linerie, bayle de Néoules, contre Antoine Laure, maréchal (fol. 576). Du 8 janvier 1624. Procès entre Jacques Ruelle, toucheur joué durant quatre fêtes et dimanches, et Gaspard Baude (fol. 588 v°). Du 5 février 1624. Jean Monin, tisseur de toile à Garéoult, demande à Colas Baude le paiement de la facon de trois Cannes d'étoupe et de huit Cannes de « sebeuque », à raison de 4 sous la canne (fol. 597).
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